Notes : Apparait à Lunéville entre 1750 et 1755. Peu après son arrivée à Lunéville il épouse à vingt deux ans la fille du marguillier de la paroisse Saint-Jacques. Après avoir eu trois enfants, morts en bas-âges, et devenu veuf, il se remarie avec une fille de Rambervillers et eut encore neuf enfants dont il ne conserva que quatre à élever. Note : le marguillet est chargé d'administrer les biens et les intéréts de la paroisse en paticulier les archives.
François Joseph DUCRET exerçait la profession de boucher et habitait la rue de la Grande Boucherie au numéro 6, ainsi qu'il est dit au "contrôle général des nobles, privilégiés, bourgeois, manants et habitants de la ville et communauté de Lunéville, pour servir au logement des troupes pendant l'année 1769. " (Cf. Ch. Denis. Inventaire des registres de l'état-civil de Lunéville, annexe II.). Sa Maison, assez belle, existe encore, c'est le numéro 4 actuel de la rue de la tour blanche. Elle ne servait que d'habitation. Pour la vente chaque boucher avait alors son étal et tous étaient réunis dans un marché commun, rue de la Vieille Boucherie (rue Germain Charrier.) . L'affreux petit pavillon à boutique qui aujourd'hui fait l'angle du pont et rompt malencontreusement la belle ordonnance des maisons de la place du château, n'existait pas encore. |